Dans la lumière de 777 - Roman pour la Vie, par Jean-Baptiste - Chapitre 58 - La Grande tribulation (dernière partie)

écrit par martine.saquin
le 30/08/2008
Dans la lumière de 777 - Roman pour la Vie, par Jean-Baptiste - Chapitre 58 - La Grande tribulation (dernière partie)

Dans la lumière de 777 – Roman pour la Vie, par Jean-Baptiste – Chapitre 58 – La grande tribulation (dernière partie)

Chaque jour que Dieu fait en ce début du 21è siècle nous apporte son lot humain de conjonction d’ondes négatives qui menacent l’équilibre de notre mère Terre. Celle-ci forme avec les trois autres éléments que sont l’air, l’eau et le feu un ensemble propice à la naissance, l’entretien et le développement de la vie qui fait partie intégrante de Dieu.

Jusqu’il y a peu, vue du cosmos, la Terre apparaissait comme un joyau tout bleu issu de la galaxie et offert en cadeau à l’humanité comme support à son développement. Mais l’homme a failli à son devoir vis-à-vis d’elle. Il empoisonne ses rivières et ses océans, il éradique ses forêts, il pollue son air et son sol et massacre sa flore et sa faune. Mais la loi de réciprocité des causes et des effets agit et les êtres élémentaires aussi appelés élémentaux accomplissent leur œuvre. Pour eux, les cellules composantes de l’humanité Terre sont devenues cancéreuses et ils doivent les éliminer. La Terre est entrée en transe et secoue le carcan des ténèbres qui l’enserre et l’étouffe et … (Apocalypse, chap. 11, verset 18) “Ta colère est venue, et le temps fixé où les morts vont être jugés, le temps de donner leur récompense à tes esclaves les prophètes et aux saints et à ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et le temps de causer la ruine de ceux qui corrompent la Terre.” Et pour ceux-là, ceux qui ruinent la Terre, la fin des temps est arrivée. Entendez bien la fin du système actuel – et non la fin de la vie humaine ou animale – et d’une façon de vivre qui est la nôtre. Les vraies valeurs ayant été inversées et la jeunesse privée de toute espèce de référence, l’évolution de la future humanité devra se faire dans la douleur.

L’épître de Jude en ses versets 17, l8 et 19 nous définit bien la « dévolution » actuelle : « (…) À la fin des temps, il y aura des moqueurs marchant selon leurs propres convoitises d’impiété ; ceux-ci sont les gens qui se séparent eux-mêmes des hommes naturels, n’ayant pas l’Esprit… »

Les prophètes, évangélistes et apôtres ainsi que les initiés modernes ont longuement discouru sur la grande tribulation à venir mais il apparaît que l’épître de Pierre, la seconde, met tout le monde d’accord sur les versets 3 à 13 du chapitre 3 : « (…) Aux derniers jours, des moqueurs viendront, marchant dans la moquerie selon leurs propres convoitises et disant : Où est la promesse de Sa venue ? (…) Mais les cieux et la Terre de maintenant sont réservés par Sa parole pour le feu, gardés pour le Jour du jugement et de la destruction des hommes impies. (…) Or le Jour du Seigneur viendra comme un voleur ; et, dans ce jour-là, les cieux passeront avec un bruit sifflant, et les éléments embrasés seront dissous et la Terre et les œuvres qui sont en elle seront brûlées entièrement. Puisque toutes ces choses doivent être ainsi dissoutes, quel genre d’hommes il vous faut être en sainte conduite et en piété, attendant et gardant constamment à l’esprit la présence du Jour du Seigneur, à cause duquel les cieux en feu seront dissous et les éléments embrasés se fondront. Mais, selon Sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre, dans lesquels la justice habitera. »

À la lecture de ce passage, comme notre ambition à conquérir le monde devrait nous paraître futile ! Pourtant, la première épître de Jean, au chapitre 2, verset 15, nous avait déjà prévenus et signifié quelle devait être notre orientation. « N’aimez pas le monde ni les choses qui sont dans le monde : si quelqu’un aime le monde, l’Amour du Père n’est pas en lui ; parce que tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, et la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, n’est pas du Père, mais est du monde ; et le monde s’en va et sa convoitise, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement … »

777 a longuement étudié les prophéties du temps de la fin et il lui apparaît d’une façon évidente que cette « journée du Seigneur » sera la dernière tribulation à venir. Le Jour du Seigneur sera suivi par le « débarquement » des élus de leur endroit de protection. Ceux-ci auront été prélevés auparavant afin d’être protégés le temps de la purification. Ces élus peupleront avec justice les nouveaux cieux et la nouvelle terre et le cosmos leur sera donc enfin ouvert et ils pourront le coloniser avec l’aide et les moyens des anges. Il est utile de rappeler que 777 incite les cœurs à la conversion spirituelle car il lui a été indiqué qu’à partir de ces lignes écrites en 2008, il ne restait même plus une décennie complète avant l’extinction d’une majeure partie de l’humanité et de ses œuvres terrestres. Certes, s’il était le seul prophète de malheur, on pourrait le traiter de fou mais viendrait-il à l’esprit d’en dire autant des milliers de savants internationaux qui se réunissent régulièrement pour signer des accords sur leurs rapports empiriques concernant la santé catastrophique de la planète ? Ils se disent eux aussi pessimistes sur nos chances de survie et plusieurs parlent même d’un point de non-retour. Il n’échappe à personne que le nombre de catastrophes en tous genres est en constante progression : tornades, typhons, inondations, raz de marée, ouragans, éruptions volcaniques, tremblements de terre … Et tandis que l’eau ravage villes et villages, la sécheresse brûle les cultures, et les forêts partent en fumée.

Et pour demain ? Matthieu, chap. 24, verset 21 : « Car alors il y aura une grande tribulation, telle qu’il n’y en a point eue depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant. Et si ces jours-là n’étaient abrégés, nulle chair ne serait sauvée ; mais à cause des élus, ces jours-là seront abrégés. » Verset 29 : « Et aussitôt après la tribulation de ces jours-là, le soleil sera obscurci et la lune ne donnera pas sa lumière, et les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. » La suite nous décrit la venue du Fils de Dieu en Puissance et Gloire avec sa milice céleste. Vous pouvez imaginer l’effet des chutes d’étoiles sur notre Terre que nous appelons « météorites » ou « comètes ».

Notre système solaire en fourmille et la Terre elle-même porte les traces d’impacts antérieurs. Comme cette météorite de 1908 qui, fort heureusement, était de taille réduite mais qui, en Sibérie, dévasta tout de même la taïga sur des dizaines de kilomètres. D’autres impacts terrestres plus vieux mais beaucoup plus importants nous montrent des cratères de plus de cent kilomètres de diamètre. La Bible nous parle aussi d’étoiles qui tombent dans la mer en la transformant en vapeur. Ces chutes d’étoiles annoncées seront-elles à l’origine des trois jours de ténèbres dont parlent toutes les prophéties ? Les nuages de projections diverses et de poussières soulevées par un éventuel impact d’astéroïde qui pourrait réveiller nombre de volcans, occulteraient tous les luminaires célestes pour plusieurs jours. Et Luc, dans son chapitre 21, aux versets 25 à 27, nous décrit l’angoisse des nations : « Et il y aura des signes dans le soleil et la lune et les étoiles, et sur Terre une angoisse des nations en perplexité devant le grand bruit de la mer et des flots, tandis que les hommes rendront l’âme de peur à cause de l’attente des choses qui viennent sur la Terre habitée. »

Toutefois, il faut bien prendre en compte que ces événements ne causeront pas l’extinction de l’humanité en totalité mais plutôt l’élimination de ce que l’Écriture appelle « les impies ». Pourtant, l’homme aurait pu atteindre le « paradis » sans souffrance. Il lui suffisait de reconnaître humblement Son créateur et de s’y soumettre ! Mais l’homme de ce siècle a résolument opté pour un comportement anti-Dieu et il lui reste vraiment peu de temps pour se préparer à subir le plus grand tremblement de terre que celle-ci ait jamais connu depuis la création du monde et pour trouver une parade à la future fusion de ses réacteurs nucléaires.

Avant de refermer les pages de ce roman – mais non pas de notre histoire à nous, qui ne fait peut-être que commencer –, il est bon de nous imprégner de la promesse que Dieu nous a faite dès le verset 17, chapitre 65, du livre d’Ésaïe :

« Car voici », dit Dieu, « je crée de nouveaux cieux et une nouvelle terre et on ne se souviendra plus de ceux qui ont précédé, et ils ne monteront pas au cœur. Et on n’y entendra plus la voix des pleurs et la voix des cris. (…) Il n’y aura plus dès lors ni petit enfant de peu de jours ni vieillard qui n’ait pas accompli ses jours. Car le jeune homme mourra âgé de cent ans, et le pécheur âgé de cent ans sera maudit. Et ils bâtiront des maisons et les habiteront et ils planteront des vignes et en mangeront le fruit ; ils ne bâtiront pas pour qu’un autre habite ; ils ne planteront pas pour qu’un autre mange, car les jours de mon peuple seront comme les jours d’un arbre. ( …) Le loup et l’agneau pâtureront ensemble ; le lion mangera de la paille comme le bœuf. (…) On ne fera pas de mal et on ne causera aucun ravage … »

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