"Le Delta" ouvre ses Portes, à Namur, ces 21 et 22 septembre

écrit par YvesCalbert
le 21/09/2019
"Le Delta", en bord de Sambre (c) Province de Namur (c) "Delta"

Ce week-end du samedi 21, à 12h, au dimanche 22 septembre, à 18h (avec fermeture de 02h à 10h), le confluent de la Sambre et de la Meuse sera en effervescence, avec l’ouverture publique du « Delta », la nouvelle « Maison de la Culture de la Province », superbement rénovée, nous offrant, entre
autres :
- un étage supplémentaire, avec une terrasse, le « 7e Ciel », donnant sur la Citadelle
- un restaurant à ciel ouvert, en bord de Sambre, géré par la réputée « Maison Gersdorff »
- un escalier monumental, proche de ce restaurant
- trois studios d’enregistrement, une autre nouveauté
- trois salles d’expos temporaires, sur trois étages, permettant l’exposition d’oeuvres de grands formats,
- trois salles de spectacles, au lieu d’une seule, dont l’une circulaire

… Et voilà donc la grande innovation, dans le paysage namurois, cette salle circulaire, que les circassiens apprécieront, se situant au sein de ce ce que nous appelerons le « tambour » (nom donné, aussi, à cette salle), en fait, une tour circulaire, créée par l’architecte Philippe Samyn, tour placée à l’avant du bâtiment historique rénové.

Concernant ce « tambour », l’architecte nous informe qu’ « après la maçonnerie la tour a été habillé par une isolation ‘PSE’ (‘isolant Sto Top 32’). La pose des panneaux d’isolation sur les courbes n’était pas une sinécure. Ainsi, les panneaux d’isolation ont été coupés sur place pour obtenir la bonne courbe.
Ensuite, les joints ont été moussé et finalement le tout a été poncé pour obtenir l’uniformité dans la forme circulaire. Après l’application de la couche d’armature, le crépi autonettoyant ‘StoLotusan®K’ était appliqué, ce ‘tambour’ nous rappelant les tours d’antan. »

D’autres précisions architecturales : « Le système d’isolation ‘StoTherm’ avec finition en crépi permet non seulement de réaliser une façade sans joint mais aussi d’assurer un niveau élevé en termes d’efficacité énergétique. Pour la durabilité, le crépi autonettoyant ‘StoLotusan®K’ nous offre d’excellentes propriétés en termes de traitement et de protection de façade grâce au ‘Lotus Effect®technology’, cette technologie inédite reposant sur la bionique, une discipline scientifique qui transpose les phénomènes biologiques dans des applications technologiques. Ce crépi ‘Lotus-Effect®’ s’inspire de la nature, notamment de la feuille de lotus. Après chaque pluie, les feuilles sont à nouveau propres et sèches, ne laissant ainsi aucune chance aux saletés. Grâce à l’’effet autonettoyant naturel, le ‘Delta’ conservera sa beauté pendant des années. »

Programme de ce week-end « Grand Ouvert ! Go Go » :

*** Samedi 21 :

Concerts à l’intérieur :
14h : « Tandem 66 », projet déjanté de deux musiciens issus du"Conservatoire Royal de Bruxelles"
15h : « Kings of Edelgran », Jérome Caudron & Josias Delcour plongés dans leur indie rock polaire
16h : « Under the Reefs Orchestra », performance inédite avec le vidéaste Julien Bechara
17h : « IMEP », avec l' « Institut supérieur de Musique Et de Pédagogie »
18h : « 90’s Nerds », concert-boum pour les enfants
19h : « Ozferti », avec Florian Doucet, à la fusion des rythmes est-africains avec l’électronique
21h : « Sysmo & Guests », 13 percussionnistes et leur musique réactive et sysmique 
22h30 : « Radio Bistrot », collectif lié­geois, de l’Irish-Punk au Musette, bal guinguette  

Concerts sur une péniche :
13h : « Les nouvelles Aventures » de la chanteuse belge Muriel D’Ailleurs
15h30 :« Medra Jaly », avec le joueur sénégalais de « kora », Mamadou Dramé
17h : « Reservoir Dub Feat Omar Perry », du reggae, avec le chanteur jamaïcain Omar Perry
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Mamadou Dramé, joueur sénégalais de « kora » , au sein du groupe « Medra Jaly »

Concerts sur la terrasse :
13h-20h :« Soundsystem Juke-O-Cycle », triporteur vintage devenu jukebox sur roues
20h :« Mireilles », comédie musicale avec des sosies de Mireille Mathieu
24h :« La Belle Etoile », concert acoustique et intimiste de Françoiz Breut & Nicolas Arnould
jusqu’à 02h, le dimanche 22 : Nuit à la belle étoile et réveil en douceur

Culture « hip-hop » :
14h-18h :« Body Graff », le graffiti effaçable sur le corps, présenté par Kahef (Sébastien Limbourg)
14h :« SKR Music », DJ set namurois se tournant vers ses premières amours : le rap
15h30 :« Body Music », un atelier participatif offert par« Airblow » & la « Funky Feet Academy »
16h30 : « Musicality is the Key », spectacle donné par « Airblow » & la « Funky Feet Academy »
17h : « Open Mic », sur du son balancé par un DJ, des rappeurs prennent le micro
17h30 :« Namur Break Sensation », pionniers du hip-hop belge, sur scène avec de jeunes namurois
18h :« Kooby, Duss & BMG », trois artistes namurois pratiquant un rap dur, actuel : la trap
19h15 :« Ypsos & Crapulax » chantent leurs albums « French Melancholy » &« Golden Forever », avec« Smimooz » aux platines

Cinéma :
21h30 : projection de 10 courts-métrages qui ont marqué Namur (avec des films de réalisateurs namurois, tels Rémy Belvaux, Benoît Mariage,...), en se souvenant que la Province de Namur avait créé un important Festival du Courts-Métrages, « Média 10/10 ». Très active avec son Secteur Cinéma, la Province, partenaire du « FIFF » (« Festival International du Film Francophone ») est, également, à l’origine de la « Caravane du Court », ainsi que, au niveau des longs-métrages, des« Classiques du Mardi » (qui furent programmés au « Caméo », pendant la fermeture de la « Maison de la Culture de la Province de Namur »), qui continueront, cette saison, sous un nouveau nom, de « Ciné Mardi », la présentation de cette 1ère saison, sous ce nouveau nom et au« Delta », étant prévue le mardi 1er octobre, à 16h15, au « Point Culture », de retour, au 1er étage (et non plus au sous-sol), entre les projections de deux films d’Agnès Varda (1928-2019), dans le cadre du « FIFF ».

*** Dimanche 22 :

La scène aux enfants :
11h : « Bal des loupiotes », un projet créé et porté par les « Jeunesses musicales de Namur »
16h : « Clac’sons », des coeurs d'enfants de la 3e maternelle à la 3e secondaire

Et bien d’autres choses encore : réalisation de dessins ; écoute de DJ sets, percussions et swings ; pratique du taichi ou du yoga, …

Pour le programme complet, consultez le site web : https://www.ledelta.be.

Côté expositions temporaires, notons la présence – jusqu’au jeudi 03 octobre, à 18h, dans la salle du « 7e Ciel », un étage au-dessus de la terrasse panoramique – d’ « Anima (ex) Musica », une expo gratuite (même au-delà du week-end d’ouverture) présentée après Reims et Paris, en exclusivité belge, à Namur.

Organisée par un collectif français, qui récupère nos instruments cassés ou délaissés, tels flûtes essoufflées, guitares désaccordées, tambourins percés, …, cette exposition – présentée par trois artistes nous venant de la Bretagne – nous permet d’admirer ce que ce qu’ils font de ces vieux instruments de musique, découvrant un monde animal, où des insectes deviennent des animaux de grandes tailles, sachant que, dans notre univers, un animal sur quatre est un coléoptère…

… Nous promenant d’un insecte géant à un autre, nous voyons l’intérieur d’un harmonium, les marteaux du piano, les mécaniques de l’accordéon, parfois des instruments rares ou curieux (clavecin, ukulélé,…), sans oublier que ces coléoptères bougent quelque peu, de la musique s’échappant de leurs entrailles…

… Ne manquons donc pas de nous rendre dans cette salle, ces sculptures mécaniques instrumentales en mouvements nous offrant la visibilité d’un monde pratiquement invisible…

Ecoutons Mathieu Desailly, designer-graphiste de ces grands insectes-instruments de musique : « Ayant vécu 30 ans à Paris, me souvenant de mon enfance, à une époque où j’aimais observer les insectes, étant devenu graphiste, j’ai suivi une formation de sculpteur sur bois et, avec deux collaborateurs, en 2013, j’ai donné vie à ce projet, David Chalmin étant le compositeur des musiques, redonnant aux instruments une nouvelle vie musicale, et Vincent Gadras, le constructeur-scénographe, ce dernier créant des mouvements imitant la discrétion des insectes, par des micro-déplacements, des vibrations, … Ces insectes étaient là bien avant nous et le seront probablement bien après. Les observer, les découvrir fait aussi partie de notre projet… »

N’est-ce pas Charles Darwin (1809-1882) qui, en 1871, écrivit : « C’est sa petite taille qui fait que nous sommes incapables de nous représenter l’apparence d’un insecte… S’il avait la taille d’un cheval ou… d’un chien, il deviendrait l’un des animaux les plus impressionnants de la planète… »

Un étage plus bas, nous sommes attendus par les oeuvres d’Evelyne Axell (née Devaux/1935-1972), une artiste namuroise ayant étudié la peinture à l’huile aux côtés de René Magritte (1898-1967), après avoir suivi des cours de céramique de l’« Académie des Beaux-Arts », à Namur, puis d’Art dramatique, au « Conservatoire royal », à Bruxelles.

Influencée par des artistes new-yorkais des années ’60, tels Jim Dine, Marisol (née Maria Sol Escobar/1930-2016) et Andy Warhol (né Andrew Warhola/ 1928-1987), en 1969, elle est la première femme artiste à recevoir le « Prix de la Jeune Peinture belge », Evelyne Axell étant reconnue, aujourd’hui, dans le monde, comme l’une des principales artistes du « Pop Art ».

A souligner la présence, exposées pour la 1ère fois, grâce à la collaboration précieuse de Philippe Axell – le fils de l’artiste, bien trop tôt disparue, victime d’un accident de la route – des dix-sept premiers collages qu’elle réalisa, en 1964, avec des découpages de magazines féminins et de revues érotiques, l’un d’entre eux étant celui choisi pour être l’affiche de la présente exposition.

Ses sujets de prédilection, outre la femme, étant l’automobile, synonyme d’émancipation de la femme, dont les pieds peuvent librement pousser sur l’accélérateur, comme le démontre l’une de ses oeuvres, « Axell-Eration » (le talon se détachant de la chaussure pouvant être interprêté comme une érotisation de sa création) ; la conquête spaciale, sujet important dans les années ’70, dont sa « Grande Sortie dans l’Espace » ; ou les événements de Mai ’68, dont « Le joli Mois de Mai » ; ce qui ne l’empêcha pas de traiter d’autres sujets, déjà d’actualité à l’époque, comme celui d’une fusillade, au sein d’un Université américaine, intitulé « Campus »…

Afin d’illustrer l’influence qu’eurent sur elle plusieurs artistes du Pop Art, soulignons, aussi, la présence de quelques oeuvres de Derek Boshier, Pauline Boty, Antony Donaldson, Martial Raysse, Andy Warhol, …

Sous vitres, sont exposées, pour la première fois, des photos et croquis d’elle même, dénudée, parfois dans des postures érotiques, qui lui servirent pour réaliser ses nus féministes, qui sont, donc, pour la plupart, des reproductions de son propre corps.

Un étage plus bas, une troisième salle d’exposition, la deuxième consacrée à Evelyne Axell, nous permet de découvrir un projet qu’elle n’eut pas le temps de concrétiser – étant décédée à 37 ans, victime d’un accident de la route -, son « Musée archéologique du XXe siècle », réalisé, ici, à Namur, pour la première fois, selon un plan qu’elle imagina, ce dernier étant exposé dans une vitrine…

… Dans ce dernier espace dédié à l’utopie du tout plastique, nous découvrons des oeuvres originales, telle , prêtée par le « Musée des Beaux-Arts d’Ixelles » ; des copies ; des objets en plastique, appartenant à des employés provinciaux, à l’exception d’une lampe de chevet ayant réellement appartenu à l’artiste namuroise ; sa propre momie plastifiée, créée selon son projet, avec ses vêtements, chaussures, bijoux, … ; sans oublier, derrière une tenture, un cabinet érotique, dévoilant ses visions de l’ « Origine du Monde », clin d’oeil Pop Art à la célèbre peinture de Gustave Courbet (1819-1877)…

Lisons ce qu’écrivit le Dr. Flavia Frigeri, dans « Evelyne Axell et l’Age du Plastique », extrait du catalogue (Ed. « Skira-Le Delta-Province de Namur »/ bilingue anglais-français/136 p./35€) :« Le plastique représentait aux yeux d’Axell la substance la plus à même d’exprimer son époque pour les générations futures. En réalité, le projet pour un ‘Musée archéologique du XXe siècle’. Département : âge du plastique, se voulait à la fois un hommage au présent et une capsule-témoin pour le futur. La dimension ‘archéologique’ du projet (rendue manifeste par son titre même), laissait deviner l’ambition anthropologique de l’environnement, soit présenter les résidus d’une civilisation perdue, exaltée par le plastique. »

Dans même catalogue, relevons le propos de Phillipe Axell : « Depuis son enfance, Evelyne ne cesse de des­siner. Son mari (Jean Antoine/1930-2016/l’un des pioniers de la télévision belge/ndlr) réalise des films sur les artistes qu’elle rencontre. C’est là qu’elle découvre sa voie. Toutefois, il lui manque une bonne for­mation de peintre. Son beau-père, Georges Antoine, est un ami de René Magritte. Il per­suade le maître de prendre sa belle-fille sous son aile. Evelyne bénéficie donc d’un appren­tissage régulier auprès de celui-ci qui, après un an, lui écrit : ‘Oui, allez-y !’ … »

Si l’accès à cette exposition « Evelyne Axell, Méthodes Pop », est gratuit durant ce week-end « Grand Ouvert ! Go Go », à partir du mardi 24 septembre, le prix d’entrée sera de 10€ (5€ et 3€, pour les détenteurs du « Pass Delta » et les membres d’un groupe de minimum 10 personnes / 0€, pour les moins de 12 ans, les « Art. 27 » et pour tous, les premiers dimanches du mois).

A noter :

– les premiers dimanches du mois, de 10h à 18h, avec médiateurs présents dans les deux salles et, de 14h à 18h, atelier créatif, pour les 06-12 ans. Entrée libre pour tous.

– le mardi 12 novembre, à 12h et à 18h, la projection de « Evelyne Axrell, la Vénus aux Plastiques » (Françoise Lévie/Bel./2003/73 min.). Prix d’accès : 5€ (10€, en combiné avec la visite de l’exposition / réductions prévues).

– le dimanche 19 janvier 2020, à 10h30, dans le cadre d’ « Art Dimanche », visite interractive, en présence d’Isabelle de Longrée, la commissaire, nous permettant de mieux comprendre les méthodes de travail de l’artiste et son utilisation particulière du plastique. Atelier créatif pour les enfants (sur réservation). Entrée libre pour tous et verre de l’amitié offert par la Province de Namur.

– le dimanche 26 janvier, entre 16h et 18h, finissage, avec petites visites érotiques de 20 minutes (à partir de 18 ans), un parcours conté, proposé par Philippe Noël et Amandine Orban. Prix d’accès : 5€ (réductions prévues).

Ouverture : du mardi au vendredi, de 11h à 18h, samedi et dimanche, de 10h à 18h (fermé les mercredis 25 décembre 2019 et 1er janvier 2020). Guide du Visiteur offert (broché/20p./en anglais, néerlandais ou français).

Soulignons encore qu’à hauteur de l’ « Ecole des Beaux-Arts », une fresque, en hommage à cette artiste namuroise, a été réalisée, aux frais de la Ville de Namur, par Ania Zuber et Manuel Gonzalez Bustos, Maxime Prévot, le Bourgmestre, ayant déclaré : « Il fallait faire quelque chose afin qu’Evelyne Axell ne soit pas connue des seuls amoureux de l’art, mais de tous les Namurois. »

Mais revenons au « Delta », en lui-même, en lisant les propos de Jean-Marie Van Espen, Député-Président : « …‘‘Le Delta’, nouvelle appellation de la ‘Maison de la Culture’, a débuté son ‘lifting intégral’ en février 2017… ‘Le Delta’ a toujours eu pour vocation d’être un espace à s’approprier. Nous considérons que la Culture doit être davantage accessible au plus grand nombre… Au-delà de la rénovation architecturale, c’est toute la vision culturelle qui a été repensée au sein de ce nouveau bâtiment. L’investissement porté par la Province de Namur – sur fonds propres – profitera à tous les citoyens, artistes et visiteurs du territoire provincial. Il répond à d’impératifs besoins… Bien entendu, nous avons dû nous conformer aux dernières normes de sécurité. Par un processus de réappropriation des berges de la Sambre, de participer à la valorisation urbanistique et architecturale du bas de la ville... »

Notons encore qu’avant même la fin des travaux, plusieurs événements avaient déjà été organisés au « Delta », comme la « Soirée du Sport », le mercredi 26 juin, la « Rock’s Cool », le mardi 02 juillet, ou encore le 1er « Buff’estival », du mercredi 14 au samedi 17 août, avec des troupes qui nous venaient du Brésil, de Chine, de Suisse et d’Ukraine.

Si toutes les activités de ces samedi 21 et dimanche 22 sont gratuites, c’est l’occasion pour chacun d’acquérir son pass, qui, tout au long de l’année accadémique 2019-2020, offrira des avantages à tous ses détenteurs.

Prix d’un Pass : 15€ (5€, pour les moins de 26 ans, plus de 65 ans, demandeurs d’emploi, bénéficiares de « RIS » {« Revenus d’Intégration Sociale »}, personnes en situation de handicap et enseignants / 0€ pour les moins de 12 ans et les bénéficiares de l’article 27), ces pass étant à retirer au comptoir d’accueil du « Delta ».

Ouverture du « Delta », au delà de cette tant attendue ouverture festive : du mardi au vendredi, dès 11h, samedi et dimanche, dès 10h. Contacts : 081/77.67.73 et info@ledelta.be.

Alors, comme le signale l’affiche de cet événement festif et gratuit, ces samedi 21 et dimanche 22, c’est « Grand Ouvert ! Go Go » (« concerts, théâtre, conférences, ateliers, dj’s, cinéma, échanges, danse, restauration, rencontres, familles, fête, expos ») ! « Go Go, c’est Grand Ouvert ! »…

Yves Calbert.

"Copyright" des photos des oeuvres d’Evelyne Axell : (c) Evelyne Axell (c) Province de Namur (c) « Delta ».

  • "Le Delta", en bord de Sambre (c) Province de Namur (c) "Delta"
  • L affiche de la presente exposition au "Delta" : "Sans Titre"/c. 1964/Coll. Philippe Axell
  • "Le Delta" ouvre ses Portes, à Namur, ces 21 et 22 septembre
  • La grande salle, son balcon et sa fresque (c) DR/SAMYN/Province de Namur/Veronesi
  • Une terrasse à la vue imprenable, notamment sur la Citadelle (c) Province de Namur (c) "Delta"
  • Surplombant un escalier monumental, le "Tambour" (c) Province de Namur (c) "Delta"
  • "Tandem 66″ (Julien Elleouet & Xavier Locus) (c) Didier Vandenbosche/"RTBF"
  • "Kings of Edelgran" (Jerome Caudron & Josias Delcourt) (c) "L Avenir"
  • Habitee par la fievre du Jazz et du Swing, Muriel D Ailleurs nous chante ses "Nouvelles Aventures"
  • Mamadou Drame, joueur senegalais de "kora", au sein du groupe "Medra Jaly"
  • Les "Mireilles" présentent leurs tableaux chantants, mis en scene par Nadia Schnock
  • Fresque murale namuroise, due à Kahef (Sebastien Limbourg), a l arriere du Palais Provincial
  • "Musicality is the Key", spectacle melant "beatbox", danse et jonglerie (c) J.-M. Schneider
  • Avec Amandine et Lulu, des (c) "Jeunesses musicales de Namur"
  • L un des groupes des 600 jeunes choristes des "Clac sons" (c) Bernard Rie/"L Avenir"
  • Philippe Vauchel (c) Marianne Grimont
  • Araignee (c) "Tout/reste/a/faire"
  • Scarabee (c) "Tout/reste/a/faire"
  • Sauterelle (c) "Tout/reste/a/faire"
  • Meloe (c) "Tout/reste/a/faire"
  • Punaise (c) "Tout/reste/a/faire"
  • L affiche de la presente exposition au "Delta" : "Sans Titre"/1964/collage/Coll. Philippe Axell
  • "Ice Cream"/1964/huile sur toile/80 x 70 cm/Coll. privee
  • "Marie-Claire"/1964/l un des 17 premiers collages & huile sur toile/70 x 90 cm/Coll. Philippe Axell
  • "Axell-Eration"/1965/huile sur toile/52,5 x 63,5 cm/Coll. Philippe Axell
  • "Campus"/1970/email sur plexiglas/193 x 128 cm/Coll. P. Axell/en depot au "Musee des Beaux-Arts d Ixelles"
  • "Portrait de Joseph Beuys"/1980/102 x 80 cm/Andy Warhol/Coll. Province du Hainaut/en depot au "BPS22"/Charleroi
  • "Le Peintre"/1970/email sur plexiglas/147 x 51 cm/"ADAM Design Museum"
  • "Petite Fourure verte/1970/email sur plexiglas & fourrure synthetique/27,3 x 31,4 cm/Coll. privee
  • L une des salles du "Delta", consacrees a l exposition "Evelyne Axell, Methodes Pop"
  • Evelyne Axell/1972
  • Fresque en hommage a Evelyne Axell, a hauteur de l’ "Ecole des Beaux-Arts" (c) Ville de Namur
  • La directrice du Service de la Culture, Bernadette Bonnier, et l architecte, Philippe Samyn
  • Facade saisissante dans le paysage subtil de Namur (c) DR/SAMYN/Province de Namur/Veronesi
  • Grace au "Buff estival", des Chinois  etaient deja sur scene, à la mi-aout (c) "Tap s/Prov. de Namur
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