Quelque 3.000 personnes pour Aya Nakamura à la Rockhal

De nombreux fans ont fait le déplacement jusqu'à la Rockhal mardi soir pour la huitième étape de la tournée d’Aya Nakamura.

Ce mardi soir, Aya Nakamura faisait escale à la Rockhal au Luxembourg pour un concert devant quelque 3.000 personnes. A l’honneur, son album « Nakamura » sorti début novembre 2018. Après une première partie assurée par le DJ officiel de la jeune femme, DJ Flextouch, le public était chauffé à bloc !

Un show à l’américaine

20h30, la Main Hall de la Rockhal est plongée dans l’obscurité. Après plusieurs dizaines de secondes de mystère, le rideau recouvrant la scène tombe enfin pour laisser apparaître dans un nuage de fumée la chanteuse de 24 ans en doudoune. Le show est alors lancé avec son titre « Dans ma bulle », issu de son nouvel opus.

Entourée de ses musiciens, choristes et danseurs, c’est un véritable show à l’américaine qu’elle nous livrera pendant un peu plus d’une heure. Dans le public, principalement féminin, de très jeunes filles connaissent chaque parole des chansons de leur idole par coeur et sont accompagnées par leurs parents tout aussi enthousiastes.

Tout a été très vite

A la fin de sa troisième chanson, Aya Nakamura salue son public en lançant « On se rencontre enfin ! », oubliant sans doute son passage sold out par le Club de la Rockhal en mai dernier. Il faut dire que tout a été très vite pour l’idole des adolescents qui, en moins de deux ans, est devenue un véritable phénomène musical. Elle est d’ailleurs retournée à ses débuts en interprétant plusieurs titres issus de son premier album « Journal intime » dont « Comportement » qui lui a permis de se faire connaître du grand public.

Au total, ses tubes ont aujourd’hui dépassé le milliard de vues sur YouTube, dont déjà plus de 459 millions rien que pour son titre « Djadja ». C’est d’ailleurs avec ce hit ainsi que celui de « Pookie » qu’elle a définitivement conquis le public luxembourgeois lors du rappel. La cerise sur le gâteau pour cette toute première tournée des grandes salles !

© Amandine Raths
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