Une épidémie facile à prévenir et à soigner !!

écrit par admin
le 13/07/2021

Vaccins : quels bénéfices pour quels risques RÉELS ?

Chantons en chœur, sur l’air du fameux « ne me quitte pas » de Jacques Brel : 

Ne me pique pas

Il faut arrêter

Tout peut s’arrêter

Et puis Big Pharma

Corrompt les médias

Les médecins vendus

Le bon sens perdu

Devant la télé

Lobotomisés

(…)

Je commence avec un peu de légèreté (ne manquez pas les paroles complètes à la fin de cette lettre)…

…mais je suis sous le choc des annonces du Président Macron.

Je vais prendre le temps de réfléchir aux actions à mettre en place (dites-moi en commentaire ce que vous en pensez).

Mais ce matin, je veux répondre à M. Macron sur le plan des IDÉES.

Ce sera un peu technique, mais cela me paraît nécessaire. 

Il y a tellement de propagande, contre-vérités et mensonges sur ces vaccins, qu’il est temps de faire une analyse bénéfice-risque détaillée.

Je vous donne immédiatement ma conclusion finale, et je vous explique en détail mon raisonnement après :

  • De mon point de vue, vous n’avez JAMAIS intérêt à vous vacciner, quel que soit votre âge ou votre état de santé, si vous prenez de la vitamine D et que votre médecin est prêt à vous prescrire de l’ivermectine ou le protocole Raoult dès les premiers symptômes ;
     
  • Il n’y a qu’une seule catégorie de personnes pour lesquelles le vaccin me semble avoir plus de bénéfices que de risques : les personnes vulnérables (avec comorbidités) de plus de 70 ans qui n’ont pas accès aux traitements préventifs et précoces ;
     
  • Pour les autres personnes vulnérables, comme les personnes de 50 à 70 ans avec lourdes comorbidités ou les personnes de plus de 85 ans sans comorbidité, le bénéfice-risque n’est pas clair, y compris en l’absence de traitement précoce et préventif – il me paraît alors préférable de s’abstenir de se vacciner au nom du précepte hippocratique « d’abord ne pas nuire » ;
     
  • Pour le reste de la population, le bénéfice-risque des vaccins me paraît négatif : même les personnes en bonne santé de 70 à 85 ans me paraissent prendre plus de risques à se vacciner qu’à ne pas le faire, y compris sans traitement préventif/précoce ; et c’est la même chose avec les moins de 50 ans souffrant de comorbidités ;
     
  • Et bien sûr, cela veut dire que si vous avez moins de 50 ans, que vous êtes en bonne santé et qu’en plus vous avez accès aux traitements précoces/préventifs, se vacciner revient à prendre un risque considérable, pour un bénéfice quasiment nul.

Pour savoir si se vacciner comporte plus de risques que de ne pas le faire, il faut d’abord savoir quel risque vous prenez réellement si vous ne vaccinez pas… 

…ce qui veut dire qu’il faut dire un mot des traitements alternatifs !

Rappel : une des épidémies les plus faciles à prévenir et à soigner

Je suis conscient que je nage totalement à « contre-courant », mais il paraît évident aujourd’hui que le Pr Raoult avait vu juste quand il disait que ce coronavirus pourrait être « l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».

En fait, ce n’est pas seulement la plus facile à soigner, c’est surtout la plus facile à prévenir :

  • En prévention, je rappelle qu’une dizaine d’études randomisées ont montré qu’un simple spray nasal (à base de solution saline ou de substances antivirales) peut réduire considérablement le risque d’être infecté[1] (et a fortiori d’avoir une forme grave) pour une raison simple : le coronavirus se multiplie dans le nez et la gorge (nasopharynx) avant de faire des dégâts dans votre corps – donc si vous le stoppez à ce niveau, vous avez tout gagné ! Une des substances les mieux étudiées est la bétadine verte, en spray nasal + bain de bouche, et ce simple geste préventif pourrait suffire déjà à atténuer l’épidémie partout dans le monde[2] !
     
  • Surtout, l’ivermectine a obtenu des résultats spectaculaires en prévention de la Covid-19 dans plusieurs études randomisées : environ 80 % de risques en moins d’être infecté, en moyenne[3]. Ainsi, quand on associe l’ivermectine à un spray nasal, l’efficacité semble totale : dans une étude majeure, cette efficacité était de 100 % chez des centaines de soignants pourtant en première ligne[4] (0 infection dans le groupe traité, contre 58 % d’infections dans le groupe témoin !). Il est manifeste qu’une simple association ivermectine/spray nasal pourrait suffire à écraser la courbe épidémique en peu de temps ;
     
  • Et n’oublions pas, en prévention toujours, que de nombreuses substances naturelles ont prouvé leur intérêt pour réduire le risque d’infections et de formes graves : la vitamine D bien sûr, mais aussi la vitamine C, le zinc, le sélénium, la mélatonine, la N-acetyl-cystéine, la quercétine, la mélatonine etc. Les effets de chacune de ces substances 100 % naturelles et inoffensives sont peut-être moins spectaculaires que l’ivermectine ou les sprays nasaux, mais le cocktail de toutes ces substances est certainement TRÈS efficace, et si on avait conseillé à tout le monde de renforcer ses défenses immunitaires avec ces compléments alimentaires inoffensifs, l’épidémie aurait fait infiniment moins de dégâts.

Donc, en prévention, on dispose d’excellentes substances, sans risques, et pour la plupart naturelles, pour éviter les infections et en réduire la gravité.

Mais on a aussi tout ce qu’il faut pour soigner les malades ! 

  • Même quand on n’a rien fait en prévention, il reste énormément de solutions extrêmement efficaces quand on est testé positif : c’est le cas en particulier de l’ivermectine, qui réduit drastiquement le risque d’hospitalisations et de décès (d’au moins 65 %[5]), ainsi que du protocole Raoult, capable de diviser la mortalité par 2 ou 3 quand il est appliqué précocement[6] ;
     
  • Et il y a d’autres molécules efficaces, comme la fluvoxamine : cet antidépresseur a montré une capacité à réduire de 100 % le risque d’hospitalisation (oui, 100 %) dans une étude publiée dans un des journaux médicaux les plus prestigieux au monde[7] (et cela a été confirmé par une étude française montrant que les patients traités par ce type d’antidépresseurs avaient beaucoup moins d’infections et de formes graves que les autres[8]) ;
     
  • Certes, tout le monde n’a pas la chance d’être soigné dès les premiers symptômes, mais il reste des substances très efficaces à l’arrivée à l’hôpital : toujours l’ivermectine et la fluvoxamine, bien sûr, mais figurez-vous qu’un autre médicament, le proxalutamide, a permis de réduire la mortalité des patients hospitalisés de 84 % dans une étude randomisée contre placebo menée sur plus de 600 patients[9] ! Par ailleurs, la simple vitamine D donnée sous une forme rapidement assimilable a également obtenu des résultats spectaculaires , avec des risques de passage en réanimation et de décès drastiquement réduits[10] ;
     
  • Et même si vous avez le malheur d’arriver en soins intensifs/réanimation, il y a encore des substances encore trop peu utilisées qui augmentent fortement vos chances de survie : l’ivermectine toujours, la vitamine D[11], les injections de vitamine C[12] ainsi que de fortes doses de méthylprednisolone[13] (un corticostéroïde plus efficace que la dexamethasone).

(Si vous vous demandez encore pourquoi on ne généralise pas ces traitements à l’efficacité démontrée scientifiquement, c’est parce que Big Pharma a pris le contrôle des systèmes de santé occidentaux, comme je l’explique en détail dans mon livre).

Donc, si on utilisait tous ces traitements, il n’y aurait plus d’épidémie, peu de formes graves et quasiment pas de décès.

Il faudrait alors que le vaccin soit extrêmement efficace et sans le moindre risque pour qu’il puisse être avantageux de se vacciner !

Je précise cela car on a tendance à comparer le vaccin à l’absence de traitement et de prévention… ce qui le rend beaucoup plus avantageux qu’il ne l’est vraiment !

Et puis il y a un autre problème dans les analyses « bénéfice-risque » habituelles du vaccin.

On fait comme si toute la population non vaccinée risquait encore d’être infectée, ce qui augmente artificiellement l’intérêt du vaccin…

… alors qu’on ne sait pas du tout comment l’épidémie va évoluer !

 

4ème vague ? Pas sûr du tout : personne ne peut prédire votre risque à venir d’être infecté !

L’évolution habituelle d’un nouveau virus est d’être de plus en plus contagieux… et de moins en moins mortel.

Cela semble le cas du variant Delta, à la fois plus contagieux et peut-être dix fois moins mortel, selon les premiers chiffres venus de Grande-Bretagne[14].

Il est donc possible que le virus évolue vers une forme très peu grave, ce qui diminuerait l’intérêt des vaccins.

Dans ce cas, on aura peut-être une « 4ème vague », mais ce sera plutôt une vague de « rhumes », ce qui n’est pas très grave. 

Mais de toute façon, la 4ème vague n’est pas certaine, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire.

Car il est possible qu’on ait déjà atteint un début d’immunité collective, qui rend très improbables des pics épidémiques graves. 

Rappelons qu’au moins 25 % de la population française a déjà été infectée, selon les analyses pourtant pessimistes de l’Institut pasteur[15] (ce pourrait être plus de 40 % en réalité).

Toutes les études montrent que ces 25 à 40 % de la population ont désormais une immunité solide et durable[16][17], donc une probabilité très faible d’être réinfectés[18]… et quasiment aucun risque d’avoir une forme grave.

Vous me direz que 25 à 40 % de la population naturellement immunisée, cela ne suffit pas à éradiquer le virus, et c’est vrai.

Mais cela permet déjà de réduire fortement la vitesse de propagation du virus, de lisser le nombre d’hospitalisations dans le temps – et donc de protéger notre système de soins, ce qui, je le rappelle, était l’objectif initial principal des confinements et de la vaccination.

Et il faut ajouter à cela qu’une bonne proportion de la population est déjà protégée du coronavirus, sans avoir été infectée, grâce à une immunité croisée avec d’autres coronavirus.

Cette hypothèse avait été soulevée par le Pr Raoult dès le printemps dernier, mais elle vient d’être prouvée de façon certaine[19][20] : oui, de nombreuses personnes sont protégées du nouveau coronavirus grâce à des infections antérieures à d’autres coronavirus… ou même grâce à une infection légère au Sars-Cov-2 ! 

Cela a été démontré chez des soignants qui n’ont jamais été testés positifs au coronavirus et qui n’avaient pas d’anticorps… mais qui avaient développé une immunité solide grâce à des lymphocytes T spécifiquement actifs contre ce virus[21].

Cela veut bien dire qu’il y a toute une frange de la population qui est immunisée sans avoir été testée positif ni avoir développé d’anticorps !

On ne sait pas encore s’il s’agit de 5, 10 ou 20 % de la population, mais c’est un bouclier supplémentaire contre le risque de nouvelle vague épidémique grave !

Tout cela pour vous dire qu’on ne peut absolument pas prédire la suite de l’épidémie.

Cette incertitude sur la réalité d’une « 4ème vague » rend l’intérêt du vaccin très incertain, car :

  • rien ne dit que vous serez infecté à l’avenir ;
  • et rien ne dit que le virus ne va pas muter vers une forme moins grave.

Et dans ces deux cas de figure, le bénéfice du vaccin serait quasi-nul.

Et il y a un autre problème avec ces vaccins, dont on ne parle pas assez.

Ces vaccins ont proportionnellement le moins d’efficacité chez les plus vulnérables (les plus âgés), et le plus d’effets indésirables chez les personnes les moins à risque du coronavirus (les plus jeunes).

Mais je m’aperçois que j’ai déjà été long, donc je vous expliquerai tout ça dans ma prochaine lettre.

Restez connecté, je vous révélerai mon calcul « bénéfice-risque » du vaccin, et vous verrez que ce que vous entendez à la télé est de la pure propagande, sans fondement scientifique.

Bonne santé,

© Xavier Bazin

PS : comme promis, la version complète des paroles sur l’air de « ne me quitte pas » – ce n’est pas de moi, je l’ai trouvé sur Internet, mais c’est brillant !

Ne me pique pas

Il faut arrêter

Tout peut s’arrêter

Et puis Big Pharma

Corrompt les médias

Les médecins vendus

Le bon sens perdu

Devant la télé

Lobotomisés

C’est n’importe quoi

C’que disent ces gens là

Alors on fait quoi ?

Moi je t’offrirai

De l’Ivermectine

Venue d’un pays

Où il y a le droit

Ils creuseront nos tombes

Pour qu’il y ait moins de monde

Pour prendre nos corps

Et faire de l’or

Ils créent un système

Où l’argent est roi

Où l’argent est loi

Où nous serons en peine

(Ne me pique pas… Ne me pique pas *2)

Ne te pique pas

Ils t’imposeront

Des choses insensées

Que tu appliqueras

Même à tes enfants

Ces cœurs innocents

Sans t’imaginer

Les mettre en danger

Je te raconterai

Un autre monde

Triste de n’avoir pas

Pu te rencontrer

(Ne te pique pas…ne te pique pas *2)

On est souverain

Libres de penser

Maîtres de nos corps

Pas envie de jouer

Avec un vaccin

Qui va nous brûler

Qu’en est-il alors

De nos destinées

Et quand vient le choix

De jouer ta vie

Mais dis-moi pourquoi

Tout ça tu l’oublies ?

(Ne nous quitte pas… Ne nous quitte pas *2)

Sources

[1] https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00251-6/fulltext,
https://www.researchsquare.com/article/rs-153598/v1,
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.20.21256197v1

[2] https://jamanetwork.com/journals/jamaotolaryngology/fullarticle/2775984

[3] https://ivmmeta.com/

[4] https://medicalpressopenaccess.com/upload/1605709669_1007.pdf

[5] https://ivmmeta.com/#fig_fpd

[6] https://hcqmeta.com/

[7] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2773108

[8] https://www.nature.com/articles/s41380-021-01021-4

[9] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.22.21259318v1

[10] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0960076020302764,
https://academic.oup.com/jcem/advance-article/doi/10.1210/clinem/dgab405...

[11] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1876382020314529

[12] https://www.researchsquare.com/article/rs-52778/v2,
https://www.cureus.com/articles/45284-the-role-of-vitamin-c-as-adjuvant-...

[13] https://www.jwatch.org/na53560/2021/06/01/methylprednisolone-better-dexa...

[14] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploa...

[15] https://www.pourlascience.fr/sd/medecine/covid-19-combien-de-francais-on...

[16] https://www.nature.com/articles/d41586-021-01442-9

[17] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03647-4

[18] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.01.21258176v2

[19] https://www.nature.com/articles/s41598-021-92521-4

[20] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.26.21259239v1.full.pdf

[21] Ces soignants jamais « positifs », sans anticorps, étaient solidement immunisés par deux canaux possibles :
1) soit ils avaient été infectés par un coronavirus banal de l’hiver (rhume), et avaient conservé des lymphocytes T actifs, ce qui les a protégés ;
2) soit ils ont été infectés faiblement par le Sars-Cov-2, ce qui leur a permis d’activer des lymphocytes T solides et d’écarter toute infection par la suite.

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