Roger Moore, Le Saint en noir et blanc. Bye.

23 mai 2017. L’annonce de la mort de Roger Moore.
Évocation du Saint des années 60. En noir et blanc. sans concurrence à la télé.
My name is Bond, James Bond.
Phrase naze magique homérique.
Il est de ceux qui l’ont prononcée.
Bon pour un séjour à l’Olympe.
Dans les années 60, en noir et blanc
Le Saint, Simon Templar, tous les lundis soir.
À la musique du générique
Ascension vers la voûte du charme.
C’était l’époque de « No milk today »
Qu’on chantait au Zing à l’université
Prélude au feuilleton hebdomadaire.
« Parce que le lundi on prend le sein ».
C’est con mais je m’en souviens.
René Dislaire © Houffalize, le 23 mai 2017
Du même auteur : épitaphes, in memoriam 2016 2017
* Schumi, c’est fini (Michael Schumacher) – 20 janvier 2018.
* France Gall – 7 janvier 2018. L’épiphanie comme épitaphe
* Roger Moore, le Saint en noir et blanc – mai 2017
Epitaphe pour Jean-Pierre Coffe – mars 2016
Épitaphe pour Alain Decaux – mars 2016
Épitaphe pour Johan Cruyff – mars 2016
Hommage à Papa Wemba, pape de la sape - avril 2016 -
Épitaphe pour Mohammed Ali - juin 2016
Épithaphe pour Fidel Castro - novembre 2016
Exit Pierre Tchernia, adieu Monsieur cinéma
In memoriam Toots Thielemans
2017
* Roger Moore, le Saint en noir et blanc – mai 2017