Ivermectine contre vaccins : devinez qui GAGNE le match par KO ?

écrit par admin
le 07/07/2021
plus de preuves pour l’ivermectine que pour les vaccins

Science : plus de preuves pour l’ivermectine que pour les vaccins

Pour nos autorités et « grands pontes de la médecine », les vaccins sont « validés scientifiquement ».

Résultat : on a très vite commencé à vacciner la terre entière, y compris les femmes enceintes et les enfants de 12 ans.

Problème : ce sont les mêmes « autorités » qui vous disent qu’il n’y a « pas de preuve scientifique concluante » en faveur de l’ivermectine.

Et c’est tout simplement absurde.

L’ivermectine est un vieux médicament antiparasitaire dont je vous montre depuis des mois l’efficacité hors du commun contre la Covid-19.

Mais pour l’establishment médical occidental : 

  • Les vaccins seraient validés scientifiquement ;
  • L’ivermectine ne serait pas validée scientifiquement.

C’est un énorme mensonge.

Dans cette lettre, je vais vous expliquer pourquoi il y a 10 fois plus de preuves scientifiques en faveur de l’ivermectine que des vaccins contre la Covid-19.

Ce sera un peu technique par moment, mais il est très important de démonter ce « mythe », en détail :

Nombre d’essais randomisés : 1 pour Pfizer contre 31 pour l’ivermectine !

Vous vous souvenez du reproche de nos « grands scientifiques » contre l’hydroxychloroquine du Pr Raoult : « Il n’a pas fait d’essai randomisé contre placebo »[1].

En pleine épidémie, cette objection se discute, mais une chose est exacte : l’avantage des essais randomisés contre placebo est qu’ils apportent généralement un excellent niveau de preuve scientifique.

Alors, combien y a-t-il eu d’essais cliniques randomisés pour tester le vaccin Pfizer ? 

Un seul ! Contre plus de 30 pour l’ivermectine !

Bien sûr, si cet essai était « parfait », ce ne serait pas forcément un problème.

Mais ce n’est pas du tout le cas : au contraire, l’essai clinique Pfizer comporte énormément de problèmes méthodologiques !

D’abord, l’essai n’a pas été réalisé « en double aveugle ».

Cela veut dire que les infirmières, les techniciens et les vaccinés pouvaient voir à l’œil nu si la seringue contenait le vaccin (opaque) ou du sérum physiologique placebo (transparent). 

De plus, ceux qui ont reçu le vaccin plutôt que le placebo ont eu beaucoup d’effets indésirables (fièvre, maux de tête, fatigue, courbatures…).

Ils en ont forcément conclu qu’ils avaient bien reçu le vaccin, plutôt que le sérum physiologique placebo.

Cela biaise fortement l’étude, car comme l’explique le Dr de Lorgeril, « la Covid-19 est (en général et en particulier dans ces deux essais) une maladie bénigne et brève (3-4 jours de malaise) et donc la maladie idéale pour bénéficier à plein d’un effet placebo ! ».

Autrement dit, il est probable que certains vaccinés ne se sont pas plaints de leurs symptômes Covid, parce qu’ils étaient persuadés d’être protégés par le vaccin. Cela peut conduire à omettre de diagnostiquer certains cas Covid chez les vaccinés, et donc de surestimer l’efficacité du vaccin.

Deuxième problème énorme : l’essai clinique a été arrêté au bout de 2 mois, dès que le laboratoire a pu communiquer son taux de 95 % d’efficacité… alors que l’essai était prévu sur 2 ans !

« Un arrêt prématuré d’un essai clinique est une faute majeure pour un scientifique », explique le Dr Michel de Lorgeril, spécialiste des vaccins et de la méthodologie des essais cliniques.

Pour Pfizer, cela avait l’avantage de masquer la chute très rapide du nombre d’anticorps vaccinaux en quelques semaines, qui chute de 80 % en 3 mois[2] ! 

Troisième problème : le nombre total de « malades » de la Covid-19 était ridiculement faible.

Certes, l’essai Pfizer a été mené sur plus de 40 000 personnes, ce qui peut paraître impressionnant.

Mais sur ces 40 000 personnes en bonne santé, moins de 200 ont été testés « positifs » à la Covid-19, après avoir développé des symptômes : 

  • 8 dans le groupe vacciné ;
     
  • 162 dans le groupe placebo.

Ces chiffres, s’ils sont exacts, permettent de conclure avec certitude que le vaccin est très efficace « pour éviter les formes symptomatiques » de la Covid-19 – c’est à dire pour s’éviter un mauvais rhume.

Mais en aucun cas, ces chiffres ne permettent de conclure scientifiquement :

  • Que le vaccin diminue le risque de « formes sévères » (il n’y en a eu que 4 au total, 3 dans le groupe placebo, 1 dans le groupe vacciné !) ;
     
  • Ou que le vaccin diminue le risque de mourir de la Covid-19 : il n’y a pas eu un seul mort de la Covid-19 sur les 200 personnes testées positives !

Donc, nos grands « puristes de la méthodologie scientifique » devraient reconnaître que l’efficacité du vaccin sur les formes graves n’a pas été prouvée formellement – et encore moins sur les plus de 85 ans, pourtant les plus vulnérables, mais qui ne faisaient pas partie de l’étude.

Et pourtant, ils font le contraire, en affichant une certitude absolue que le vaccin est efficace pour éviter les hospitalisations et les morts.

Sur la base de quoi ? De quels chiffres ? 

Eh bien, comme ils ne peuvent pas s’appuyer sur l’essai clinique randomisé, ils fondent leur certitude sur des analyses statistiques réalisées en Israël et en Grande-Bretagne. 

Mais ce sont des données « observationnelles », ce qui est un niveau de preuve théoriquement assez faible !

Donc, toute la campagne vaccinale mondiale s’appuie sur des données observationnelles et un seul un essai clinique qui ne peut conclure à la moindre efficacité sur les formes graves.

Et le pire, c’est que ce seul essai clinique est lui-même probablement manipulé !

L’essai Pfizer : un conflit d’intérêts gros comme une maison !!

Car il faut savoir que l’essai clinique randomisé a été entièrement organisé par Pfizer, avec des salariés du laboratoire !

« Il n’y a pas de conflit d’intérêts plus énorme puisque les salaires et les primes des employés (sous forme de milliards de dollars pour les dirigeants) en dépendent », explique Michel de Lorgeril.

Il y a donc des incitations énormes à manipuler les résultats !

Par exemple, des employés de Pfizer ont pu choisir de faire moins de tests PCR chez les vaccinés que chez les non-vaccinés.

Ce serait une manière très simple de faire en sorte qu’il y ait plus de cas « positifs » chez les non-vaccinés !

Cette manipulation était réalisable en pratique, puisqu’il était relativement facile de « deviner » qui a eu le vaccin et qui ne l’a pas eu, sur la base des effets indésirables.

Ensuite, même si les données de terrain ont été recueillies de façon honnête, il est possible qu’elles aient été « manipulées » par les grands pontes qui ont rédigé l’étude finale.

« Quand on regarde la liste des auteurs et coauteurs, on voit qu’ils appartiennent tous à Pfizer », explique le Dr de Lorgeril. 

Tout ça pour vous dire que cet essai clinique unique sur le vaccin Pfizer est TRÈS fragile !

Conclusion du Dr de Lorgeril : « les règles élémentaires de l’essai clinique telles qu’elles ont été élaborées au cours des 30 ou 40 dernières années n’ont pas été respectées. On fait tout ce qu’il ne fallait pas faire ».

Et ne me dites pas qu’il est inimaginable de soupçonner Pfizer d’être capable de trafiquer ses chiffres. Depuis 20 ans, Pfizer a été condamné à plusieurs reprises par la Justice américaine pour fausses déclarations, pots-de-vin et autres pratiques de corruption[3].

En 2009, Pfizer a même dû payer une amende de 2,4 milliards de dollars, un record mondial, pour « pratiques commerciales frauduleuses »[4], notamment des commissions occultes versées à des médecins.

Voilà pourquoi il faut exiger la plus grande rigueur scientifique quand on laisse des laboratoires pharmaceutiques comme Pfizer conduire ou financer leurs propres essais cliniques.

Maintenant, il me faut préciser un point capital.

Personnellement, je ne fais pas partie des « puristes » de la méthodologie scientifique.

Je pense qu’il faut utiliser son bon sens, regarder toutes les informations, et se faire une opinion sans toujours attendre la « preuve parfaite ».

S’agissant du vaccin Pfizer, et sur la base de tout ce que j’ai lu et observé, il me paraît raisonnable de penser qu’il a très probablement une certaine efficacité pour éviter les formes graves de la Covid-19 (ce qui ne veut pas dire que son « bénéfice-risque » est positif pour autant, car il a beaucoup d’effets indésirables).

Mais il est évident que le niveau de preuve scientifique en faveur de cette efficacité est très imparfait : à savoir un seul essai clinique mal conduit, organisé par le fabricant, avec très peu de malades, ainsi que des données observationnelles de terrain.

Le plus choquant, c’est qu’il y a là un « deux poids, deux mesures » évident avec l’ivermectine (et l’hydroxychloroquine, mais je n’en parlerai pas ici).

Car avec l’ivermectine, pour les « puristes » de la méthodologie scientifique, il est exact qu’on n’a pas la preuve parfaite de son efficacité. 

Mais on ne l’a pas non plus pour les vaccins, comme on l’a vu !

Et quand on regarde bien les données scientifiques, on voit au contraire qu’il y a beaucoup plus de preuves d’efficacité de l’ivermectine que des vaccins !

Ivermectine : un nombre d’études randomisées favorables impressionnant !

Le bon sens permet de comprendre que 10 essais imparfaits, menés sans préjugés et sans conflit d'intérêts, valent mieux qu’un seul essai, fût-il « parfait » en apparence.

Si vous avez un seul essai clinique, vous avez toujours le risque qu’il ait été manipulé à votre insu… ou même que son résultat soit dû au hasard (même si la probabilité est très faible quand les résultats sont significatifs).

A l’inverse, quand vous avez des chercheurs aux quatre coins du monde, qui font des essais cliniques sur l’ivermectine de façon désintéressée, avec des méthodes différentes, sur des patients différents, le fait qu’ils arrivent à la même conclusion d’efficacité est une preuve forte en faveur de cette molécule !

C’est le cas pour l’ivermectine, dont voici la liste des 31 essais cliniques randomisés :

Liste des 31 RCT effectués sur l’ivermectine, en traitement précoce (« early »), tardif (« late ») et en prophylaxie
 

TOUTES ces études (sauf une) donnent des résultats très favorables à l’ivermectine, que ce soit sur le nombre d’infections, la charge virale, le nombre d’hospitalisations et le nombre de morts.

Certes, aucun de ces essais cliniques n’est parfait, loin s’en faut, selon les règles des puristes.

Mais ces essais cliniques ont un énorme avantage : ils ont été conduits par des médecins et chercheurs qui n’ont aucune incitation à manipuler leurs résultats !

Aucun d’entre eux n’aurait gagné le moindre centime à montrer que l’ivermectine fonctionne.

C’est pour cela que ces essais cliniques sont extrêmement convaincants : ils vont tous dans le même sens, alors que personne n’avait rien à gagner à aboutir à ces résultats positifs !

C’est une preuve extrêmement puissante d’efficacité !

Car il vaut mieux 31 essais imparfaits mais sans conflit d’intérêts plutôt qu’un essai « parfait » (ce qui n’est pas du tout le cas de l’essai Pfizer) organisé par le fabricant !

Et en plus, il y a beaucoup plus de vrais malades dans ces études sur l’ivermectine que dans l’essai Pfizer !!

Je rappelle qu’il y a eu 0 mort dans l’essai Pfizer.

Dans les 31 essais sur l’ivermectine, il y en a environ 70 – avec au moins 62 % de mortalité en moins dans les groupes traités avec ivermectine[5]. 

Dans l’essai Pfizer, il y avait 2 hospitalisations au total. Dans les 31 essais sur l’ivermectine, il y en a plusieurs centaines.

C’est beaucoup plus significatif !

Même sur le nombre d’infections évitées, on en a plus dans les études sur l’ivermectine !

Prenez l’étude la plus célèbre en prévention sur l’ivermectine, réalisée en Argentine.

Je tiens à vous en dire un mot, car j’estime que cette étude, à elle-seule, est plus convaincante que l’essai Pfizer : 

  • 800 soignants ont pris, en prévention, de l’ivermectine en gélule, ainsi qu’un spray nasal à base d’une algue rouge antivirale (iota-carrageenan) ;
     
  • 400 soignants n’ont pas souhaité participer à l’étude, et n’ont donc pris ni ivermectine, ni spray nasal.

Et le résultat est tout simplement EXTRAORDINAIRE : 

  • Parmi les 800 soignants traités à l’ivermectine + spray nasal, il n’y a pas eu une seule infection, pas un seul test PCR positif ;
     
  • Parmi les 400 soignants non traités, au contraire, il y a eu plus de 230 tests PCR positifs, soit 58 % d’infectés !

Notez bien que 230 tests PCR positifs au total, c’est un peu plus que le nombre de cas positifs de l’essai clinique Pfizer.

Certes, Pfizer a vacciné 40 000 personnes, mais ce n’étaient pas des soignants en première ligne, c’était des gens qui avaient peu de chances d’attraper la Covid.

Au total, le résultat est donc plus impressionnant pour l’ivermectine. Dans le groupe vacciné, il y a eu une dizaine d’infections, alors que dans le groupe traité par ivermectine + spray nasal, il n’y a pas eu la moindre infection !

0 infection sur 800, alors qu’un groupe comparable a eu 230 infections sur 400, c’est un résultat extraordinaire, qui prouve à lui seul l’efficacité du traitement (une coïncidence est impossible). 

Et il est très peu plausible que ces chiffres puissent être frauduleux, car le Dr Carvallo qui a réalisé cet essai est un grand médecin honnête, qui n’a rien à gagner à ces résultats ! 

Certes, cet essai argentin n’est pas « parfait » selon les puristes de la méthodologie. 

Peut-être que s’il avait été parfait, on n’aurait pas eu une efficacité de 100 %, mais « seulement » de 90 %.

Mais dans tous les cas, il est certain que l’efficacité de l’ivermectine est très élevée !

Et il ne s’agit que d’un seul essai clinique, sur 31 !!

Vous voyez qu’il y a une mauvaise foi INOUÏE à dire que la SCIENCE conclut à l’efficacité du vaccin et à l’absence de preuve probante pour l’ivermectine !

Surtout que ces 31 essais cliniques apportent encore une autre preuve probante.

Car on discerne clairement dans ces essais un « effet-dose » : les essais cliniques dans lesquels on a donné une dose plus importante d’ivermectine obtiennent de meilleurs résultats.

Bref, ces 31 études randomisées apportent un niveau de preuve très élevé, si tant est qu’on utilise son bon sens plutôt qu’un méthodologisme borné. 

Et il n’y a pas que ces essais randomisés.

Les autres niveaux de preuves en faveur de l’ivermectine – études observationnelles et expériences en vie réelle – sont tout aussi convaincantes :

Les études « en vie réelle » sur l’ivermectine ? La cerise sur le gâteau !

Au Panama, en Slovaquie ou dans la région Alto Parana au Paraguay : partout où l’ivermectine a été distribuée de façon massive, l’épidémie a été terrassée en quelques semaines[6].

C’est ce qui s’est passé en Inde également : les États qui ont utilisé l’ivermectine ont écrasé l’épidémie du variant Delta plus rapidement que les autres.

Mais le meilleur exemple est celui de la ville de Mexico (près de 20 millions d’habitants), qui a décidé de donner de l’ivermectine à tous les cas positifs, en traitement précoce.

Le résultat a été immédiat, et spectaculaire sur le nombre de morts (à gauche) ou d’hospitalisations (à droite) :

Des chercheurs mexicains ont examiné ce miracle et ont conclu, avec une étude observationnelle (quasi-randomisée) sur plus de 200 000 patients que l’ivermectine a permis de réduire le nombre d’hospitalisations de 52 à 76 %[7].

Ce n’est peut-être pas une « grande étude randomisée » en bonne et due forme, mais cela a de la valeur pour ceux qui savent regardent les faits en face !

Et surtout, cela a au moins autant de valeur que la plupart des études en faveur du vaccin Pfizer, qui, il faut le dire et le répéter, sont essentiellement observationnelles elles aussi !

D’ailleurs, aux dernières nouvelles en Israël et en Grande-Bretagne, le nombre de cas repartait à la hausse sous l’effet du « variant delta »… alors que l’ivermectine, elle, est efficace contre tous les variants !

Voilà encore un point favorable à l’ivermectine contre le vaccin Pfizer, qui a de forts risques d’être moins efficace face aux variants.

Et bien sûr, je n’ai rien dit ici des effets indésirables graves : 

  • 0 pour l’ivermectine, une molécule connue depuis plus de 30 ans et donnée à des milliards de patients dans le monde ;
     
  • Énormément d’effets indésirables rapportés à la pharmacovigilance pour Pfizer, qui est une technologie totalement expérimentale, testée sur quelques mois seulement et sur laquelle nous n’avons aucun recul !

Le « deux poids, deux mesures » est aveuglant pour qui a les yeux ouverts.

Vous vous souvenez que le ministre Olivier Véran a interdit l’hydroxychloroquine, en pleine épidémie, au prétexte d’un risque très rare de ce médicament sur le rythme cardiaque ?

Eh bien les autorités israéliennes, américaines et françaises ont eu beau reconnaître noir sur blanc que le vaccin Pfizer peut causer une maladie cardiaque (myocardites), cela n’a rien changé à leurs recommandations !

Pourtant, ne vous paraît-il pas évident

  • Qu’il est acceptable de prendre un risque minime quand on donne un médicament comme l’hydroxychloroquine à une personne malade de la Covid-19, surtout lorsque cette personne est à haut risque de mourir parce qu’elle a plus de 70 ans et des comorbidités ;
     
  • Et qu’il est inacceptable de prendre le moindre risque quand on vaccine des bien-portants de 15 à 25 ans qui n’ont aucun risque en cas d’infection à la Covid-19 !

Et pourtant, on a interdit l’hydroxychloroquine sans raison valable et on recommande en ce moment le vaccin Pfizer aux jeunes de 18 ans, alors qu’il cause de myocardites.

Pour l’ivermectine, c’est encore plus « gros », car elle ne présente même pas de risque « rare », et son efficacité est encore plus probante que l’hydroxychloroquine !

Vous comprenez maintenant qu’on marche sur la tête ?

Transférez cette lettre à votre médecin ou à toute personne qui prétend que les vaccins sont « scientifiques », et que l’ivermectine ne l’est pas.

Bonne santé,

© Xavier Bazin

 

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Sources et références scientifiques :  Rendez-vous ici pour voir les sources

Sources

[1] https://michel.delorgeril.info/sante-publique/essais-cliniques-testant-l...

[2] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.19.21255714v2.full

[3] https://www.arguments-vaccins.com/argument-53-je-nai-pas-confiance-dans-...

[4] https://www.france24.com/fr/20090903-le-laboratoire-pfizer-ecope-dune-am...

[5] https://journals.lww.com/americantherapeutics/Abstract/9000/Ivermectin_f...

[6] https://www.sante-corps-esprit.com/malgre-la-flambee-du-virus-linde-rest...

[7] https://osf.io/preprints/socarxiv/r93g4/

  • plus de preuves pour l’ivermectine que pour les vaccins
  • Le résultat a été immédiat, et spectaculaire sur le nombre de morts (à gauche) ou d’hospitalisations (à droite) :
  • C’est le cas pour l’ivermectine, dont voici la liste des 31 essais cliniques randomisés :
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