Vaccins géniques à ARN : 6 raisons de se MÉFIER

écrit par admin
le 27/01/2021

Je ne suis pas anti-vaccin, mais j'ai un GROS problème avec les vaccins à ARN de Pfizer et Moderna

 

Cher(e) ami(e) de la Santé,

C’est grave : il n’y a plus aucun esprit critique sur la vaccination anti-Covid.

Beaucoup de gens croient que c’est LA seule solution pour en finir avec le semi-confinement et autres privations de liberté.

Mais c’est totalement faux : sans même parler ici des remèdes qui préviennent la Covid-19 plus efficacement que le vaccin [1], il est clair que le vaccin n’est pas une solution miracle.

Regardez plutôt ce qui se passe en Israël : 75 % des plus de 60 ans ont déjà reçu la première dose du vaccin, et l’épidémie n’a jamais fait autant de morts !

Dans ce pays, les personnes vaccinées semblent peu protégées : début janvier, 17 % des patients hospitalisés pour Covid sévère avaient été vaccinés [2].

Ces premiers résultats sont tellement décevants que le Ministre de la Santé israélien a reconnu publiquement que la première dose du vaccin est moins efficace que ce que les essais cliniques laissaient espérer [3].

Donc, l’exemple d’Israël, qui a vacciné massivement et rapidement sa population, est la preuve qu’il ne faut pas compter sur le vaccin pour stopper net l’épidémie.

Peut-être faut-il attendre que la population israélienne ait reçu la deuxième dose du vaccin pour en voir l’impact. Mais on voit bien que, dans le meilleur des cas, cela prend du temps.

Il est donc certain que la vaccination ne protégera pas les Français cet hiver, période pourtant la plus à risque.

Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin soit encore intéressant. Écoutez bien ce qu’a dit Axel Kahn, un généticien pourtant pro-confinement et pro-vaccin :

« Il est assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés et qu’on soit obligé de revacciner régulièrement tous les ans ou tous les deux ans comme on le fait pour la grippe » [4].

Axel Kahn avoue que la vaccination va conduire le virus à muter encore plus vite, ce qui rendra les vaccins en circulation rapidement inefficaces.

Donc, je le dis à tous ceux qui croient que le vaccin permettra ENFIN d’éviter les masques, le confinement et la vie insupportable qu’on nous fait subir depuis un an : ce n’est pas le cas !

Vu la vitesse de mutation du virus, ils n’hésiteront pas à continuer à vous forcer à mettre un masque et à vous confiner même si vous êtes vacciné !

D’ailleurs, beaucoup d’états exigent, pour entrer sur leur territoire, un test PCR négatif à la Covid-19, y compris si vous êtes vacciné – ce qui est la preuve qu’ils doutent de l’efficacité du vaccin !

Et ils ont raison, car on sait déjà que le vaccin ne protège probablement pas contre un nouveau variant venu d’Afrique du Sud (501Y.V2) [5].

Il est donc certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale.

Je vous dis cela car je sais que beaucoup de gens sont prêts à tout pour sortir du cauchemar actuel.

Mais il est très important de garder la tête froide et d’examiner objectivement les avantages et inconvénients du vaccin.

Alors, devez-vous vous faire vacciner, oui ou non, dans votre situation ?

Je vous donne immédiatement ma position, puis je vous explique pourquoi juste après, en détail :

  • Si vous avez moins de 60 ans, vous avez une probabilité tellement infime d’avoir une forme grave en cas d’infection que la vaccination avec un produit expérimental me paraît comporter plus de risques que d’avantages ;
  • Pour les plus de 80 ans, on sait de longue date que les vaccins sont peu efficaces, faute d’un système immunitaire réactif, donc le bénéfice à en attendre est quasi-nul, alors que les risques sont réels (comme le montre le nombre de morts en Ehpad en Norvège juste après vaccination).

Donc, avant 60 ans et après 80 ans, il semble y avoir plus de risques que de bénéfices à se faire vacciner.

Pour les personnes de 60 à 80 ans, et en particulier de 70 à 80 ans (l’âge de mes parents), c’est un peu différent.

Au départ, je pensais que le vaccin pourrait se justifier dans cette tranche d’âge.

Mais entre-temps, vu ce que j’ai appris sur les risques de vaccins ARN, je ne recommanderais pas à mes parents de se faire vacciner.

Je vais vous expliquer pourquoi en détail dans une seconde.

Mais avant de vous parler des risques de ces vaccins, il faut se poser la question du bénéfice.

Quel risque réel avez-vous d’être infecté par le coronavirus, aujourd’hui fin janvier 2021 ?

Pour moi, en France, Suisse et Belgique, et partout où il y a eu deux grandes vagues épidémiques, le risque est limité, car un début d’immunité collective s’est créé.

Bien sûr, des milliers de gens continueront d’être infectés dans les mois qui viennent, mais une explosion du nombre d’hospitalisations et de décès est désormais peu probable (je vous renvoie à ma lettre sur ce sujet [6]).

En ce moment, l’épidémie flambe surtout dans les pays qui ont confiné le plus longtemps, comme Israël et l’Irlande, pour une raison simple : comme le virus a peu circulé dans ces pays, les populations n’ont pas pu construire une immunité collective.

Mais dans les pays qui ont eu deux gros épisodes épidémiques, comme en France, Suisse et Belgique, au moins 20 % de la population a déjà été contaminée, ce qui ralentit les contaminations !

Au total, dans nos pays, le risque d’être infecté n’est plus du tout aussi élevé qu’au printemps dernier !

Donc cela diminue le bénéfice espéré d’un vaccin…

Quant aux risques pour votre santé, il faut regarder les choses en face, sans préjugé.

Tout bien considéré, il y a pour moi 6 grandes raisons de se méfier :

Raison n°1 : déjà 23 morts en Norvège chez des patients très âgés, c’est INQUIÉTANT !

En Norvège, alors que la vaccination avait à peine commencé, on a recensé 23 morts suspectes chez des personnes fragiles et âgées, décédées très peu de temps après avoir été vaccinées.

Les autorités de santé norvégiennes ont investigué les causes de 13 de ces morts. Leur première conclusion a été rapportée par le British Medical Journal :

« L’agence a conclu que les effets indésirables classiques des vaccins à ARNm, comme la fièvre, la nausée et la diarrhée, pourraient avoir contribué au décès de certains des patients fragiles » [7].

C’est un vrai coup de tonnerre car les autorités ont toujours tendance à innocenter les vaccins.

Quelques jours plus tard, d’ailleurs, les autorités norvégiennes se sont empressées de dire qu’aucun lien direct avec les vaccins n’avait pu être prouvé.

On a la même hypocrisie en France : un patient en EHPAD est mort deux heures après avoir reçu le vaccin… mais l’Agence du Médicament (ANSM) a déclaré que « rien ne permet de conclure que ce décès soit en lien avec la vaccination » [8] !

En réalité, il ne fait quasiment aucun doute que ces morts sont liées au vaccin pour une raison simple : les vaccins ARNm font partie des vaccins les plus « réactogènes » qui existent.

Cela veut dire qu’ils causent, dans les heures et jours qui suivent le vaccin, énormément d’effets indésirables sérieux, comme de la fatigue sévère, de la fièvre, des maux de tête, etc.

Donc il est logique que, pour les personnes très âgées et très fragiles, une seule injection puisse suffire à les faire basculer dans l’au-delà – et c’est vraisemblablement ce qu’on a observé en Norvège.

On a d’ailleurs observé le même phénomène en Allemagne, où l’Institut Paul Ehrlich est en train de se pencher sur 10 décès potentiellement causés par le vaccin, chez des personnes déjà gravement malades au moment de la vaccination [9].

Au total, cet Institut allemand a d’ailleurs reçu 51 cas suspects d’effets secondaires graves, soit 1 cas sur 10 000 vaccinés environ.

C’est d’autant plus inquiétant que ces effets ont été observés après la première dose de vaccin – sachant qu’on sait déjà que la seconde dose cause plus d’effets indésirables encore que la première !

A ce stade, il paraît évident qu’il faut impérativement éviter le vaccin ARNm chez les personnes très âgées et très malades.

Je rappelle que ces patients-là n’étaient pas inclus dans les essais cliniques. On les a donc vaccinés sans avoir la moindre information sur le rapport risque-efficacité pour eux.

Pour le dire clairement, ce sont des cobayes.

Dans le doute, il est préférable de ne rien faire, car je vous rappelle que la priorité de la médecine depuis Hippocrate est « d’abord ne pas nuire ».

Je rappelle que les vaccins (comme celui de la grippe) sont très peu efficaces chez les patients très âgés et très malades, car leur système immunitaire ne réagit pas ou peu au vaccin.

Pour ces personnes, le bénéfice espéré de protection contre la Covid-19 est donc quasiment nul.

Et de toute façon, il n’y a aucune fatalité à être contaminé, surtout après deux vagues épidémiques, donc la prudence paraît préférable.

Je trouve donc vraiment honteux qu’on ait pu commencer à vacciner ces personnes hyper-fragiles, au mépris de la prudence la plus élémentaire.

Car on sait depuis le début que c’est un vaccin très réactogène ! La preuve :

Raison n°2 : « Je n'ai jamais vu une fréquence aussi élevée d'effets indésirables pour un vaccin » (Pr Caumes)

Les médias et autorités ne le crient pas sur les toits, mais les vaccins ARN font partie des vaccins qui causent le plus d’effets indésirables à court terme.

Pour les personnes très fragiles et très âgées, comme on l’a vu, c’est un gros problème car cela peut suffire à causer la mort.

Mais pour les personnes jeunes qui ne risquent quasiment rien avec le coronavirus, c’est aussi un problème. Pour eux, le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ?

Il faut écouter ce qu’a déclaré le Pr Éric Caumes le 9 décembre dernier, dans Le Parisien, après avoir épluché le rapport de l'agence américaine du médicament sur le vaccin Pfizer :

« En lisant les 53 pages, quelque chose m'a frappé. Je n'ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin !

En dehors des réactions minimes dues à l'injection comme des rougeurs et douleurs locales, d'autres effets indésirables sont recensés à des taux relativement élevés surtout chez les jeunes et après la deuxième dose.

Prenons l'exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c'est classique. Mais là, 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue.

Non mais là, c'est beaucoup trop, il y a peut-être un problème… » [10].

Après avoir dit cette vérité éclatante, le malheureux Professeur Caumes s’est sans doute fait « rattraper par la patrouille », car il a dû préciser 5 jours plus tard qu’il se « ferait vacciner », même si « la fréquence des effets secondaires est un peu plus grave que pour d'autres vaccins » [11].

En fait, le Pr Caumes avait dit la vérité dans sa première intervention.

Dans les essais cliniques, on a recensé près de 5 % d’effets indésirables de sévérité 3, qui conduisent à ne plus pouvoir travailler ni avoir la moindre activité pendant 24 heures en moyenne (en raison d’une fatigue invalidante ou de fièvre et maux de tête sérieux).

Ce sont des chiffres très élevés, sans comparaison avec ceux qu’on observe avec le vaccin contre la grippe, par exemple.

Et je ne parle ici que des effets indésirables officiellement reconnus, sur la base des essais cliniques.

Mais les essais cliniques n’ont porté que sur un petit nombre de gens relativement jeunes et en bonne santé, volontaires, triés sur le volet, et qui ne sont donc pas représentatifs de la population générale, et encore moins des personnes les plus à risques de mourir de la Covid-19.

Inévitablement, quand on vaccine à grande échelle, de nouveaux problèmes apparaissent :

Raison n°3 : Des réactions allergiques graves 10 fois plus fréquentes que pour le vaccin contre la grippe – attention si vous êtes cardiaque !

C’est la meilleure preuve que les essais cliniques ne disent pas tout : figurez-vous qu’ils n’avaient détecté aucun choc allergique grave après vaccination.

Pourtant, dès le début de la vaccination en Grande-Bretagne, plusieurs soignants ont fait des chocs anaphylactiques – ce sont des réactions allergiques qui peuvent tuer si on ne vous injecte pas immédiatement de l’adrénaline.

Depuis, les autorités du monde entier ont reconnu que c’était un effet indésirable rare mais réel du vaccin, et qu’il fallait donc impérativement avoir des seringues d’adrénaline prêtes, ainsi qu’un service d’urgence ou de soins intensifs à proximité.

Aux États-Unis, la principale agence américaine a reconnu que ces chocs allergiques graves se produisent dans 1 cas sur 100 000 [12].

Cela peut paraître peu, mais c’est 10 fois plus que pour le vaccin contre la grippe !

Et on sait d’où viennent ces réactions allergiques : d’une substance très controversée contenue dans le vaccin, appelée polyéthylène glycol (PEG).

Le PEG est couramment utilisé dans des médicaments laxatifs, mais aussi des shampoings et dentifrices industriels ou des produits solvants.

Au départ, comme souvent, on croyait cette molécule inoffensive… jusqu’à ce qu’on réalise que la plupart des gens développent des anticorps contre le PEG… et certains à des doses suffisamment élevées pour provoquer de graves réactions allergiques [13] !

Donc, les spécialistes savaient parfaitement qu’il y avait un vrai risque avec ces vaccins contenant du PEG !

On le savait d’autant mieux qu’en 2014, on a dû arrêter un essai clinique portant sur un médicament contenant de l’ARN entouré de PEG (comme les vaccins actuels !) car il a causé des réactions allergiques graves, ayant causé un mort [14].

Ces réactions allergiques liées au vaccin sont d’autant plus inquiétantes que les vaccins ARN avec PEG sont donnés en deux doses, ce qui augure de problèmes encore plus sérieux à la deuxième dose !

Conclusion : attention si vous êtes allergique… et attention aussi si vous êtes fragile et cardiaque !

Je rappelle qu’un choc allergique peut causer une chute de tension, une accélération du rythme cardiaque et donner le souffle court – ce qui est très dangereux si vous avez le malheur d’avoir le cœur fragile !

C’est probablement pour cette raison qu’un Israélien de 75 ans, ayant des antécédents cardiaques, est mort 2 heures après avoir reçu le vaccin Pfizer [15]… d’une crise cardiaque.

Même problème, vraisemblablement, pour ce patient américain de 68 ans, hypertendu, et décédé d’un infarctus immédiatement après la vaccination [16].

Mais nos autorités de santé n’ont pas anticipé ce problème et n’ont pas hésité à vacciner des personnes fragiles et cardiaques.

Faut-il encore leur faire confiance quand elles nous disent que ces vaccins sont sans risque ?

On essaie de vous rassurer en vous disant que ces vaccins ont été testés sur des dizaines de milliers de personnes.

Mais il faut bien comprendre que cela ne suffit pas pour évaluer les risques sur l’ensemble de la population !

Avec un essai clinique réalisé sur 30 ou 40 000 personnes, il est impossible de détecter un effet indésirable grave qui se produit sur 1 personne sur 10 000 !

Or 1 effet sur 10 000, cela représente tout de même 1 000 personnes gravement atteintes si on vaccine 10 millions de personnes !

C’est un gros problème, et les paralysies faciales liées au vaccin en sont le meilleur exemple :

Raison n°4 : Le vaccin risque de causer d’autres effets graves à court terme, comme les paralysies faciales

Dans l’essai clinique du vaccin Pfizer, il y a eu 4 paralysies faciales dans le groupe vacciné, 0 dans le groupe placebo.

Dans l’essai du vaccin Moderna, il y a eu 3 paralysies faciales dans le groupe vacciné, 1 dans le groupe placebo.

Pour quelqu’un de normalement constitué, c’est un signal très inquiétant, avec un risque sérieux que cette maladie (parfois incurable) frappe 1 personne sur 5 000 vaccinées.

Mais pour nos grands « méthodologistes », cette différence n’est pas statistiquement significative, donc l’effet indésirable n’est pas officiellement reconnu.

Voici par exemple ce que vous explique la grande société savante en infectiologie, largement financée et influencée par Big Pharma, la SPILF :

« La fréquence de survenue de paralysie faciale parmi les volontaires vaccinés est proche de ce qui est attendu en population générale (15 à 30 pour 100 000 personnes). Il n’y a donc pas de signal en faveur d’un tel effet indésirable après vaccination » [17].

C’est de la mauvaise foi pure et simple.

En Israël, déjà 13 personnes ont été victimes de cette paralysie faciale après la vaccination anti-Covid, et des experts recommandent déjà de ne surtout pas leur injecter la seconde dose prévue [18] !

En fait, avec cette affaire de paralysie faciale, l’histoire semble se répéter.

Car ce n’est pas la première fois qu’on met un vaccin sur le marché alors que le nombre de personnes testées n’était pas assez grand pour repérer tous les risques rares.

Ce n’est pas être anti-vaccin que de dire cela : ce sont des scientifiques de l’Université Harvard qui l’ont expliqué dans un avertissement solennel, publié dans le très officiel magazine Science [19].

Ils donnent l’exemple très éclairant du vaccin Rotavirus, mis sur le marché aux États-Unis, en 1998, malgré un signal inquiétant dans les essais cliniques.

Dans ces essais, 5 000 bébés avaient reçu le vaccin, et 5 000 un placebo.

Or on avait trouvé 5 cas d’invagination intestinale dangereuse dans le groupe vaccin, contre 1 seul dans le groupe placebo.

Conclusion des autorités de l’époque : pas de problème, ce n’est pas significatif statistiquement !

Résultat : le vaccin a causé des morts chez des bébés en bas âge, et a dû être précipitamment retiré du marché.

Ces chiffres ne vous font-ils pas étrangement penser aux chiffres obtenus sur la paralysie faciale ?

Il s’est passé la même chose aux États-Unis en 1976, après l’autorisation à la hâte d’un nouveau vaccin anti-grippe.

Là encore, après avoir été jugé « sûr » par les autorités, ce vaccin a causé plus de 450 cas d’une maladie invalidante nommée syndrome de Guillain-Barré.

Or avec les vaccins anti-Covid aussi, il y a un vrai risque de provoquer des maladies de Guillain-Barré.

C’est ce qu’a reconnu récemment Claire-Anne Siegrist, spécialiste vaccinale liée à l’Organisation mondiale de la Santé :

« Ce qu’on ne sait pas encore, c’est si ces vaccins pourraient déclencher des maladies auto-immunes tels que le syndrome de Guillain-Barré, ce qui peut se produire dans de très rares cas suite à une vaccination. » [20].

De fait, si ces vaccins causent 1 cas de Guillain-Barré sur 20 000, les essais cliniques ne peuvent pas le détecter.

Voilà pourquoi il faut être très prudent avec ces vaccins expérimentaux, autorisés à la va-vite.

D’autant que je ne vous ai parlé jusqu’ici que des effets immédiats, juste après la vaccination.

Mais le pire, c’est qu’on n’a aucun recul sur les effets de plus long terme !

Raison n°5 : nous ne savons RIEN des effets indésirables graves qui peuvent survenir après plusieurs mois !

C’est un fait incontestable : les essais cliniques ne nous donnent aucune indication sur les effets indésirables retardés.

Je rappelle que les essais cliniques sur les vaccins Pfizer et Moderna sont encore en cours ; leur date de fin est prévue en 2022.

C’est la première fois qu’on injecte massivement un produit (médicament ou vaccin) dont l’étude de phase III n’est même pas terminée !

Et c’est particulièrement inquiétant, surtout avec une technologie totalement nouvelle comme les vaccins géniques à ARN.

Souvenez-vous ce qui s’est passé en 2009, avec le vaccin Pandemrix contre la grippe A (H1N1).

Sous prétexte de menace pandémique, on a vacciné des millions de personnes sans recul suffisant sur les nouveaux vaccins fabriqués à la hâte.

Résultat : un de ces vaccins, le Pandemrix du laboratoire GSK, a causé chez des adolescents français des centaines de cas de narcolepsie, une maladie invalidante [21].

A l’époque, les autorités ont encouragé les adolescents à se faire vacciner, en leur disant que, s’il y avait un risque d’effet inhabituel rare, il était certainement moins élevé que le risque de la grippe H1N1 [22].

Mais c’était faux : ces enfants et adolescents n’avaient rien à craindre de la grippe… et sont devenus gravement handicapés à la suite du vaccin.

Et le point crucial, c’est que cette maladie n’a été diagnostiquée qu’au bout de 3 à 4 mois en moyenne.

Or je rappelle que les effets indésirables des vaccins actuels contre la Covid-19 n’ont été étudiés que sur 2 à 3 mois tout au plus !

C’est inquiétant, car il est fréquent que les maladies auto-immunes causées par les vaccins mettent du temps à se manifester ou à être diagnostiquées !

Et d’ailleurs, figurez-vous que Pfizer a décidé de vacciner les patients des groupes placebo au bout de 6 mois… ce qui est le meilleur moyen d’effacer toute preuve scientifique de maladies apparaissant avec retard, causées par le vaccin !

Raison n°6 : Ne croyez surtout pas que « s’il y avait un problème, les autorités de santé l’auraient vu et dit ! » 

Si vous êtes arrivé jusque-là, vous vous demandez peut-être comment on a pu autoriser ces vaccins, malgré ces risques et incertitudes.

Si ce que je dis est vrai, pourquoi l’Agence européenne du médicament aurait-elle donné son feu vert à ces vaccins ?

Ne faudrait-il pas lui faire confiance, puisque cette Agence a examiné attentivement la question ?

La réponse est clairement NON, et voici pourquoi.

D’abord, il faut dire et répéter qu’il n’existe aucune donnée sur l’efficacité et les dangers du vaccin après 85 ans, et encore moins sur les personnes très fragiles qui peuplent nos Ehpad.

Ces patients étaient exclus des essais cliniques, donc ni l’Agence européenne du médicament, ni même les laboratoires Pfizer et Moderna ne savent quoi que ce soit des avantages et inconvénients du vaccin pour eux.

Le fait d’avoir autorisé la vaccination de ces patients n’a donc rien à voir avec un examen raisonné des essais cliniques. C’est plutôt un pari risqué.

Ensuite, il faut savoir que les Agences du Médicament n’ont accès qu’aux chiffres que les laboratoires Pfizer et Moderna leur ont transmis.

Le Dr de Lorgeril, grand épidémiologiste et chercheur au CNRS, l’a expliqué avec force :

  • « Les médias, universitaires et politiques sont d’une naïveté extraordinaire, en croyant qu’il n’y a rien à craindre à partir du moment où les agences sanitaires ont examiné les données.
  • Car ce qui se passe vraiment, c’est que ces agences sanitaires n’ont accès qu’aux chiffres que les laboratoires veulent bien leur donner.
  • Or si vous êtes Pfizer ou Moderna, vous n’allez tout de même pas vous tirer une balle dans le pied en transmettant des données défavorables à votre vaccin » [23].

Prenez ce chiffre très étrange, que l’on trouve dans l’essai clinique de Pfizer.

Dans le groupe vacciné, plus de 300 patients ont été exclus des résultats pour une raison floue (« déviation du protocole »), alors qu’ils n’ont été que 60 environ dans le groupe placebo.

Si c’est une manipulation, sachez qu’elle aurait pu suffire à masquer certains effets secondaires graves du vaccin ou même son inefficacité !

Car ce vaccin a été autorisé sur la base de 8 cas positifs dans le groupe vacciné, contre 172 dans le groupe placebo. Et seulement une dizaine de formes sévères au total, principalement dans le groupe non vacciné.

Mais imaginez que Pfizer ait exclu des résultats, soi-disant pour « déviation du protocole », 10 patients vaccinés ayant fait une Covid-19 sévère : cela aurait totalement inversé les résultats !

Je ne dis pas que c’est forcément ce qui s’est passé. Je dis simplement que ce serait une manière simple pour le laboratoire de manipuler ses données et d’obtenir un résultat favorable.

Vu les milliards d’euros qui sont en jeu, n’est-ce pas envisageable ?

Surtout quand on sait que le laboratoire Pfizer a été condamné à de multiples reprises ces dernières années, notamment pour « publicité mensongère », avec des amendes prononcées par les tribunaux américains atteignant près de 3 milliards de dollars au total !

Vous me direz peut-être que les Agences du Médicament connaissent le risque de ce genre de manipulation et poussent les laboratoires dans leurs retranchements pour en avoir le cœur net.

Mais c’était mission impossible car ces Agences ont dû rendre un avis très rapidement, sous une énorme pression de l’opinion publique et des responsables politiques !

Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vaccins [24].

Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis à vis du vaccin de Pfizer :

« Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »

L’Agence européenne était « préoccupée » car le vaccin testé n’est pas exactement le même vaccin que celui qui a été mis sur le marché :

  • « En effet, pour passer d’un stade clinique à un stade commercial, les fabricants ont dû changer leurs processus de fabrication, ils ont aussi investi dans de nouvelles lignes de production et de nouvelles usines. Autant de modifications qui expliqueraient des différences dans la composition exacte des vaccins, en particulier une diminution du degré d’intégrité de l’ARN (…)
  • La question se pose de savoir si ce taux d’ARN plus faible pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité, car qui dit moins d’ARN intègre, dit plus d’impuretés, notamment d’ARN tronqué. »

Finalement, l’Agence européenne semble avoir été « rassurée » par les arguments de Pfizer sur la fabrication de ces vaccins, avec des niveaux d’ARN jugés « acceptables ».

Mais ces niveaux « acceptables » n’étaient tout de même pas ceux utilisés dans les essais cliniques, ce qui peut créer un risque de moindre efficacité ou de dangerosité accrue.

Et surtout, c’est sous une énorme pression que l’Agence européenne a fini par laisser passer ce problème.

Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé au grand jour, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile de ne pas approuver ces vaccins :

« Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste (…), l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public). »

Bref, c’était dans l’urgence et sous pression que les autorités ont approuvé ces nouveaux vaccins expérimentaux.

Et bien sûr, il ne faut pas oublier que de nombreux experts liés à ces Agences sont en conflit d’intérêts, rémunérés par l’industrie pharmaceutique, et donc peu désireux de mordre la main qui les nourrit.

Au total, un médecin français éclairé, le Dr Maudroux, a parfaitement résumé la situation :

  • « On vous explique que le vaccin a été validé par les autorités médicales chargées d’étudier si on pouvait le mettre sur le marché ou non. Quels mensonges ! Cette commission s’est ridiculisée, car le produit a été acheté, la campagne organisée, avant que cette commission ne se réunisse.
  • La décision n’a pas été médicale mais politique, et cette commission n’a pas émis d’avis médical, mais a entériné une décision politique. Rappelons que ces autorités médicales avaient validé le remdésivir avant que l’OMS ne le déclare dangereux. » [25].

Vous voyez qu’il n’y a aucune raison d’être serein vis-à-vis de ces vaccins expérimentaux.

Petit bilan risque/efficacité pour conclure 

Au total, on voit bien que l’efficacité de ces vaccins est douteuse :

  • On ne sait rien de son efficacité chez les plus de 80 ans et les plus vulnérables, qui n’étaient pas inclus dans les essais cliniques – alors que ce sont ceux qui risquent le plus de mourir du coronavirus s’ils sont infectés ;
  • Avec l’exemple israélien, on voit que les bons résultats observés dans les essais cliniques ne se retrouvent pas forcément dans la réalité, à court terme – et pour cause, les essais cliniques n’ont rien à voir avec la « vraie vie » : ce ne sont pas les mêmes personnes qui sont vaccinées… et comme on l’a vu, ce n’est même pas le même vaccin qui est injecté ! ;
  • Je rappelle qu’il n’y a pas non plus de preuve formelle que la vaccination évite les formes graves de la Covid-19 (il y avait trop peu de cas dans les essais cliniques pour conclure) ;
  • Pour couronner le tout, les mutations du virus et ses nouveaux variants risquent de rendre le vaccin totalement inefficace, très vite.

Et pour ceux qui parlent de vaccination « altruiste », n’oubliez pas une chose capitale : nous n’avons aucune preuve à ce jour que le vaccin empêche la transmission du virus car ce n’était pas mesuré dans les essais cliniques – or, comme l’a reconnu « Monsieur vaccin », le Dr Alain Fischer, « Il y a des cas connus de vaccins où un vaccin protège contre la maladie mais n'empêche pas qu'on soit toujours porteur d'un virus » [26].

Bref, les vaccins actuels à ARN ne sont clairement pas la solution miracle qui pourraient mettre fin définitivement à l’épidémie.

En revanche, les risques de ces vaccins ont beau être rares, ils sont réels :

  • Risques à court terme : réactions allergiques, pouvant causer des infarctus chez les personnes fragiles ; effets indésirables divers (fièvre, maux de tête, diarrhée) risqués chez les personnes les plus malades et les plus fragiles ; et autres effets indésirables graves possibles comme les paralysies faciales ;
  • Risques à plus long terme : maladies auto-immunes graves (Guillain Barré, etc.) et autres risques imprévisibles avec ces nouveaux vaccins ARN, encore jamais expérimentés.

Chacun doit prendre ses responsabilités, en conscience, mais de mon côté, il est clair que je ne recommanderais pas ces vaccins-là à mes proches.

Ils ont été fabriqués à la hâte et approuvés précipitamment, sous la pression de Big Pharma et des responsables politiques qui avaient promis un peu trop rapidement que c’était la meilleure solution contre l’épidémie.

Et surtout, il existe des solutions alternatives au moins aussi efficaces que ces vaccins, et sans le moindre danger, comme la vitamine D et l’Ivermectine en prophylaxie.

Énormément de médecins partagent ce point de vue, mais ils ont peur de l’exprimer publiquement, vu les pressions énormes sur ce sujet.

En Suisse, où la liberté de parole des médecins est mieux respectée, le Dr Philippe Saegesser, porte-parole de 700 médecins et professionnels de santé, a demandé un moratoire sur les vaccins ARN, avec ces arguments limpides :

  • « Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vaccins à ARN messager (ARNm) sont utilisés ?
  • Si ces vaccins sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème?
  • N’oubliez pas qu’un vaccin est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite, ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement » [27].

Alors ne vous faites pas intimider par la pression politique et médiatique, prenez votre décision en toute liberté !

Bonne santé,

Xavier Bazin

 

PS : Je ne vous ai pas parlé ici d’un autre risque du vaccin, que j’aborderai dans une prochaine lettre.

Ce risque, c’est celui des « anticorps facilitateurs ».

Il faut savoir que certains vaccins augmentent le risque d’avoir une forme grave de la maladie, au lieu de la diminuer (c’est ce qui s’est passé avec le vaccin Sanofi contre la dengue).

Or c’est ce qui risque de se passer avec les vaccins Covid-19, avec un des nouveaux variants.

Je vous en parle très vite, restez connecté.

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